Type: Cancer du poumon à petites cellules.
AbbVie MAJ Il y a 5 ans

Étude MERU : étude de phase 3, randomisée, comparant l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab tesirine associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15% des cancers du poumon diagnostiqués. Le traitement de référence est une association de 2 agents chimiothérapeutiques, cisplatine ou carboplatine associé avec de l’étoposide. Le rovalpituzumab tesirine est un anticorps conjugué ciblant la protéine DLL3 sur les cellules tumorales en inhibant ainsi leur prolifération. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du rovalpituzumab tesirine toutes les 6 semaines associé à de la dexaméthasone 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo toutes les 6 semaines, associé à un second placebo 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 31 mois.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude MERU : étude de phase 3, randomisée, comparant l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab tesirine associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15% des cancers du poumon diagnostiqués. Le traitement de référence est une association de 2 agents chimiothérapeutiques, cisplatine ou carboplatine associé avec de l’étoposide. Le rovalpituzumab tesirine est un anticorps conjugué ciblant la protéine DLL3 sur les cellules tumorales en inhibant ainsi leur prolifération. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du rovalpituzumab tesirine toutes les 6 semaines associé à de la dexaméthasone 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo toutes les 6 semaines, associé à un second placebo 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 31 mois.

Essai clos aux inclusions

Étude STIMULI : Étude de phase 2, randomisée évaluant un traitement de consolidation par nivolumab et ipilimumab après une chimioradiothérapie, chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade limité. Au moment du diagnostic, 30% des patients atteints d’un cancer du poumon à petites cellules (SCLC) présentent une maladie de stade limité. L’association chimiothérapie plus radiothérapie thoracique constitue l’approche thérapeutique standard en cas de SCLC de stade limité. Différentes études suggèrent qu’une infiltration accrue de la tumeur par des cellules immunitaires est associée à une meilleure survie. Le nivolumab et l’ipilimumab, deux anticorps, ciblent non seulement des récepteurs de l’immunité cellulaire différents, mais régulent aussi des voies inhibitrices distinctes. L’objectif de cet essai est d’évaluer la survie globale et la survie sans progression avec un traitement de consolidation par le nivolumab et l’ipilimumab après chimio-radiothérapie en cas de cancer du poumon à petites cellules de stade limité. Les patients seront répartis aléatoirement en 2 groupes : Les patients du groupe A (traitement de consolidation) recevront une immunothérapie qui se déroulera en deux phases après la chimio-radiothérapie et irradiation crânienne prophylactique. Lors de la phase d’induction, les patients recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) pendant 30 minutes, puis de l’ipilimumab par voie intraveineuse (IV) pendant 90 minutes. Ces injections auront lieu une fois toutes les trois semaines, en quatre cures. Lors de la phase d’entretien, les patients recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) pendant 30 minutes une fois toutes les 2 semaines, pendant au maximum 12 mois après le début de la phase d’entretien. Les patients du groupe B (d’observation) ne recevront pas de traitement d’immunothérapie après la chimio-radiothérapie et irradiation crânienne prophylactique. Les patients des deux groupes seront suivis pendant 5 ans et auront une évaluation radiologique par CT scan toutes les 9 semaines pendant les 18 premiers mois puis toutes les 12 semaines jusqu’à la 2ème année puis tous les 6 mois la 3ème et 4ème année et à 5 ans.

Essai ouvert aux inclusions

ELCWP 01994 : Essai de phase 3 randomisé comparant 2 chimiothérapies à base d'étoposide chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules étendu. [essai clos aux inclusions] L'objectif de cet essai est de comparer l'efficacité et la tolérance de 2 chimiothérapies chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules étendu. Un bilan initial comprendra outre des examens cliniques et biologiques, une radiographie, des examens par scanner, une scintigraphie osseuse et une échographie cardiaque. Les patients seront répartis de façon aléatoire entre 2 groupes de traitement. Dans le premier groupe, les patients recevront du cisplatine en perfusion d' 1 h le premier jour et de l'étoposide en perfusion d'1 h pendant 3 jours (jour 1 à jour 3). Dans le deuxième groupe, les patlents recevront de l'épirubicine en injection intra-veineuse, de l'étoposide en perfusion d'1 h et de l'ifosfamide en perfusion de 3 h. Les traitements seront répétés toutes les 3 semaines jusqu'à 3 cures puis un nouveau bilan, identique au bilan initial, sera réalisé. - Les patients "non répondeurs" au traitement, seront sortis de l'étude. - Les patients "répondeurs" poursuivront le traitement jusqu'à rémission ou survenue d'une mauvaise tolérance. Une évaluation sera réalisée toutes les 3 cures. - En cas de rechute, la même chimiothérapie sera administrée sous réserve que la fin de la dernière cure date de plus de 6 mois. Dans le cas contraire, les patients seront sortis de l'étude et un traitement adéquat leur sera administré. Après la fin du traitement, les patients seront revus tous les 2 mois pendant les 6 premiers mois, puis tous les 3 mois.

Essai clos aux inclusions

Étude A005D-E01-201 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du [68Ga]-NeoBOMB1 dans le diagnostic primaire chez des patients ayant un cancer surexprimant le récepteur peptidique libérant de la gastrine. Le peptide induisant la production de la gastrine, est une neuroendocrine exprimée dans de nombreux tissus, parmi lesquels le système nerveux central et le tube digestif. La gastrine induit plusieurs processus cellulaires dont la prolifération et la migration. Ces effets biologiques sont parmi les principaux mécanismes capables de promouvoir la formation de métastases par des cellules cancéreuses. En plus le peptide induisant la production de la gastrine et/ou son récepteur sont exprimés avec une fréquence remarquable par différentes tumeurs primaires humaines. Le [68Ga]-NeoBOMB1 est un inhibiteur du récepteur peptidique libérant de la gastrine, conjugué à un radiotraceur pour la tomographie par émission de positrons. Il permet de visualiser les cancers qui expriment le récepteur peptidique libérant de la gastrine. L’objectif de cette étude sera d’évaluer l’efficacité du [68Ga]-NeoBOMB1 dans le diagnostic primaire chez des patients ayant un cancer surexprimant le récepteur peptidique libérant de la gastrine. Les patients seront répartis en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du [68Ga]-NeoBOMB1 puis 4 séances de scanner par TEP-TDM à faible dose seront réalisées 15min, 1h, 2h et 4h après l’injection du radiotraceur. Les patients du deuxième groupe recevront du [68Ga]-NeoBOMB1 puis 2 séances de scanners par TEP-TDM du corps entier seront réalisées 90 min et 150 min après l’injection du radiotraceur. Une séance de scanner statique des ganglions lymphatiques par TEP-TDM sera réalisée chez les patients ayant un cancer de la prostate. Un scanner par TDM à haute dose du corps entier sera réalisé chez les patients dont l’imagerie conventionnelle aura été réalisée plus de 4 semaines avant le début de l’étude. Les patients seront suivis jusqu’à 6 semaines après le début du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions